Il faut bien commencer par quelque chose. Peut-être, revenir à l’essentiel ? Un souffle. Une respiration. Ou alors, tout simplement se mettre à nu. Reconnaitre une part de vulnérabilité souvent camouflée. Et au commencement est le verbe. La légende raconte que le mot définit nos réels...
Premier épisode qui conte une fièvre à partager le mot, un récit.
Ceci est l'ouverture du journal intime.