Aujourd’hui, nous allons regarder la réalité en face. Les désastres s’enchaînent, les catastrophes s’annoncent, mais les êtres humains ne s’y préparent pas… Bref, plus que jamais il est temps de parler d’Apocalypse. Mais pourquoi utiliser ce vieux terme ? D’autres époques auraient-elles déjà imaginé la ruine du monde et ce qu’elle signifie pour nous ? Pour savoir ce que le livre de l’Apocalypse peut nous apprendre et à quoi il nous engage concrètement, nous avons le plaisir d’accueillir aujourd’hui Elian Cuvillier, pasteur, exégète et théologien français, professeur à la faculté de théologie protestante de Montpellier.

Nous retrouvons la professeure d'Ancien Testament (ICP), Béatrice Oiry, qui nous explique le récit du don de la manne au désert (livre de l'Exode, chapitre 16). La manne, qui vient de Dieu, est comme des précipitations, "une pluie mangeable", don de Dieu. Quel sens cela peut-il avoir pour le peuple d'Israël et pour nous, encore aujourd'hui?

Béatrice Oiry, professeur d'Ancien Testament à l'Université Catholique de Paris, nous invite à une lecture des récits biblique (par exemple, le second récit de Création (Genèse 2)) avec une attention fine aux éléments comme la terre et l'eau associés au travail de l'humain en vue de susciter la vie.

Il existe une Bible « The Green Bible » qui mentionne en vert ce qui est favorable à la question de l’écologie et en gris ce qui l'est moins… Mais est-ce que la Bible peut vraiment parler d'écologie? Nous avons le plaisir d'aborder cette question avec la professeure Béatrice Oiry, professeur d'Ancien Testament à l'Institut Catholique de Paris.

Nous poursuivons notre parcours sur le lien entre Bible et psychanalyse en compagnie de notre intervenant, le professeur Elian Cuvillier qui nous partage son expérience personnelle sur la question.

On connaît le livre célèbre de Françoise Dolto, "L'Evangile au risque de la psychanalyse" (1980). 40 ans plus tard, Bible et psychanalyse ont-ils encore quelque chose à voir? Pour nous en parler, nous rencontrons le professeur Élian Cuvillier, pasteur, exégète et théologien français, professeur à la faculté de théologie protestante de Montpellier.

La semaine dernière nous avons parlé du nouveau rapport annuel de l’Eglise catholique en Belgique, qui nous a montré la diversité des actions et des réalités que connaît l’Eglise belge. Cette semaine nous allons nous concentrer sur un des thèmes du rapport : celui de l’innovation. Alors quoi, l’Eglise serait-elle rattrapée par un des mantras de notre époque ? Notre vénérable institution est-elle capable de nouveauté ? Pour nous aider à aborder ces questions, nous avons le plaisir d’accueillir aujourd’hui Catherine Chevalier, Docteure en théologie de l’Institut Catholique de Paris et de l’Université Catholique de Louvain, et actuellement chargée de cours à l’UCLouvain.

Aujourd’hui, nous allons parler de l’Eglise en Belgique. Le refrain devrait être connu d’avance : sécularisation, vieillissement, un peu, beaucoup, passionnément ou pas du tout. Sauf qu’il ne s’agira pas de cela cette fois-ci. Loin de ces considérations générales et parfois superficielles, nous allons bien plutôt faire droit au temps de l’analyse, et à la recension précise des réalités concrètes de l’Eglise belge. Le rapport annuel de l’Eglise catholique en Belgique vient en effet d’être publié et pour nous y introduire, nous avons le plaisir d’accueillir aujourd’hui Catherine Chevalier, Docteure en théologie de l’Institut Catholique de Paris et de l’Université Catholique de Louvain, et actuellement chargée de cours à l’UCLouvain et responsable de formation continue des agents pastoraux.

Benoît Standaert, moine bénédictin et exégète, nous propose une approche originale de l'évangile de Jean qu'il qualifie volontiers d'apologétique.

Paul était-il misogyne? Avait-il les idées arrêtées? Était-ce un personnage infréquentable? Benoît Standaert que nous accueillons encore cette semaine nous offre un éclairage fondamental afin de bien comprendre l'apôtre des païens et ses écrits.

Nous accueillons cette semaine encore le Père Benoît Standaert venu nous parler d'un de ses derniers ouvrages issu de son expérience de nombreux cours et conférences donnés sur le sujet. Il s'agit d'un commentaire sur les 14 lettres de Paul édité en français (en 3 volumes) et en italien (1 volume de 900 pages). Un commentaire très intéressant qui se penche sur le contenu des lettres pauliniennes et Hébreu, mais aussi sur la forme de celles-ci, sur l'histoire de leur rédaction...

Nous rencontrons le père Benoît Standaert auteur d'un commentaire littéraire, et plus précisément, "esthétique" du Nouveau Testament. Qu'y a-t-il derrière ces mots? Quelle est son approche originale? Qu'apporte-t-elle à la lecture du Nouveau Testament?

L’Eglise a 2000 ans, et n’est pas connue pour être l’institution la plus rapide à se transformer. Les deux semaines précédentes nous avons tenté d’expliquer un concept un peu nouveau dans la vie de l’Eglise : j’ai nommé la synodalité. Aujourd’hui, nous allons voir quels sont les défis qui se présentent à ce fameux synode sur la synodalité que vit l’Eglise catholique pour l’instant. Et pour nous présenter ces défis, nous avons encore le plaisir d’accueillir Arnaud Join-Lambert, Professeur de Théologie pratique et de liturgie à l’Université Catholique de Louvain et Directeur de la Revue Lumen Vitae, dont le dernier volume, de 2021, porte justement le titre Pour une culture de la synodalité missionnaire.

La semaine dernière nous avions dressé une sorte d’état des lieux de l’Eglise aujourd’hui, et abordé le concept théologique de synodalité en réponse à cet état des lieux. Aujourd’hui nous poursuivons notre réflexion par une question simple : concrètement, c’est quoi alors la synodalité ? Et pour continuer cette explication, nous avons le plaisir d’accueillir à nouveau Arnaud Join-Lambert, Professeur de Théologie pratique et de liturgie à l’Université Catholique de Louvain et Directeur de la Revue Lumen Vitae, dont le dernier volume, de 2021, porte justement le titre Pour une culture de la synodalité missionnaire.

Tout le monde le dit, l’Eglise catholique ne fait plus recette au moins en Europe. La pratique religieuse traditionnelle s’effondre, des scandales font douter jusqu’aux plus investis… Est-ce qu’il ne serait pas temps de se demander ce que cela signifie d’être en Eglise ? … Eh bien c’est justement la question qu’a posée officiellement le pape François il y a un peu plus d’un an. Il a même pu dire cette phrase étonnante : « Dieu attend la synodalité de l’Eglise du 3e millénaire ». Mais qu’est-ce que cela peut bien signifier la synodalité ? Et puis d’abord c’est qui l’Eglise ? Pour en parler aujourd’hui, nous avons l’honneur et le plaisir d’accueillir Arnaud Join-Lambert, Professeur de Théologie pratique et de liturgie à l’Université Catholique de Louvain et Directeur de la Revue Lumen Vitae, une revue internationale de théologie pratique dont le dernier volume, de 2021, porte justement le titre Pour une culture de la synodalité missionnaire.

Le professeur Christian Eberhart que nous recevons depuis plusieurs semaines est en train de rédiger un commentaire de la Lettre de Paul aux Romains qui paraîtra dans une nouvelle série: The Wisdom Commentary Serie. Cette série se propose de lire tous les livres de la Bible à partir d'une perspective féministe. https://litpress.org/wisdom-commentary-series

Le professeur Eberhart, de l'Université de Houston éclaire le sens de la "réconciliation", de la "colère de Dieu"... dans la lettre aux Romains. Il nous montre un Paul capable de s'adapter à son auditoire.

Paul était-il misogyne? Le professeur Christian Eberhart, doyen du département d'Etudes religieuses à Houston et auteur d'un commentaire sur la lettre de Paul au Romains nous montre la place des femmes dans la lettre aux Romains.

Aujourd’hui nous achevons notre parcours dans l’histoire de l’Université Catholique de Louvain avec la période la plus récente… Car notre histoire récente a elle aussi apporté son lot de bouleversements à l’Université. Tout le monde connaît par exemple l’importance qu’a eu le Concile Vatican II sur la vie de l’Eglise catholique dans les 50 dernières années… Mais ce que nous ce que nous savons peut-être moins, c’est le rôle que l’Université Catholique de Louvain a joué dans cet événement, et quelles répercussions celui-ci a eu sur l’Université elle-même. Pour nous en parler, nous avons à nouveau le plaisir d’accueillir Luc Courtois, Professeur d’histoire contemporaine à l’Université Catholique de Louvain et directeur du Dictionnaire d'histoire et de géographie ecclésiastiques.

La semaine dernière, nous nous étions plongés dans l’histoire des Universités et plus particulièrement de l’Université Catholique de Louvain. Nous avions vu comment, après le tournant de la Révolution française, cette Université avait été refondée, et à quels débats elle avait été amenée à participer durant le XIXe siècle. Aujourd’hui nous poursuivons notre parcours avec la question redoutable de la crise moderniste, une controverse ayant éclaté au sein de l’Eglise catholique aux tout débuts du XXe siècle, entre autres autour des enjeux de l’exégèse historico-critique… Et pour nous en parler, nous avons l’honneur et le plaisir d’accueillir à nouveau Luc Courtois, Professeur d’histoire contemporaine à l’Université Catholique de Louvain.