Des modifications législatives concernant l'incorporation des "bidasses" a permis une large mobilisation. Découvrons comment l’activité militante a permis la construction de comités de résistance à la hiérarchie militaire qui ont considérablement changé la vie dans les casernes.

Cette nouvelle forme de domination du capital, inaugurée au Chili après le coup d’état de Pinochet en 1973, s’est développée avec les politiques de Ronald Reagan et de Margaret Thatcher, avant de s’imposer dans le monde. Elle fait aujourd’hui consensus dans toutes les institutions internationales.

La belle époque ne l’a pas été pour tout le monde. C’est une période de féroce répression contre les luttes ouvrières qui ont alors une ampleur considérable. Ce qui va devenir l’affaire Jules Durand est significative de cette férocité, comme des effets de l’hystérie organisée par les campagnes médiatiques.

Il y a 50 ans au Chili c’était la répression sauvage, les assassinats, les arrestations de tou·tes les militan·tes de gauche, syndicalistes, jeunes par la dictature militaire qui venait de renverser le président Allende et le gouvernement de l’Unité Populaire. Dans un pays stable qui n’avait jamais connu de coup d’état formel, qu’est ce qui a amené l’armée chilienne « républicaine », à renverser le gouvernement régulièrement élu ?

La révolution russe a changé le cours de la lutte des classes du vingtième siècle. L'échec final n'était pas écrit d'avance ! N'est-il pas indispensable de redonner vie aux espérances soulevées par cette révolution de millions de russes en refusant toutes les falsifications historiques ?

Les formes du droit de grève sont avant tout façonnées par les luttes des salarié·es, un thermomètre du rapport des forces. N'est-ce pas en replaçant l'évolution actuelle dans l'histoire qu'on peut mieux apprécier les enjeux présents ?

Pendant des dizaines d'années au début du 20ème siècle, les bourses du travail ont été bien plus que le lieu des sièges des syndicats : elles organisaient des services utiles à la population ouvrière, une contre société, essentielles à la structuration du syndicalisme, de l'action politique. Des pistes pour le syndicalisme de demain ?

Le CNR, le Conseil National de la Résistance de 1944, qui a adopté le programme « le jours heureux » dont il ne reste de la partie sociale que la sécurité sociale, fait fréquemment référence dans les débats politiques. Mais qu'a-t-il vraiment été, comment et pourquoi a-t-il été mis en place ?