La saison estivale se termine, changement d'ambiance, de météo.
Les 1ères feuilles mortes tombent, les jours raccourcissent, mais pas seulement. C'est aussi des couples qui se font et se défont sous un ciel orageux.
Je vais donc vous catapulter sur 2 titres interprétés par Art Mengo en 1997 en live au Mandala : nous nous désaimerons et les parfums de sa vie.
Je vous souhaite une belle écoute passionnée.
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Né le 16 septembre 19611 à Toulouse de parents réfugiés espagnols, Michel Armengot, un temps musicien de bar, se fait connaître en 1988 sous le nom de scène Art Mengo avec Les Parfums de sa vie (je l'ai tant aimée) qui est un succès2,3, avant un premier album en 1990, Un 15 août en février.
Avec le concours de son beau-frère Patrice Guirao, qui a écrit la majorité de ses textes, il évolue sur des tempos tour à tour jazzy, bossa nova et blues.
Il compose également pour d’autres, notamment Ute Lemper (avec qui il a aussi chanté sur son titre Parler d’amour), Henri Salvador, Philippe Léotard, Clémence Lhomme, Enrico Macias, Florent Pagny, Jane Birkin, Johnny Hallyday, Juliette Gréco, Viktor Lazlo, Clarika, Liane Foly et Maurane. Il met en musique des textes des écrivains Jean Rouaud, Thierry Illouz et Marie Nimier, pour lui-même ou pour Eddy Mitchell et Juliette Gréco. Art Mengo a également composé la musique de deux chansons de l'album d’Yves Duteil (fr)agiles (sorti en 2008)4 : il lui a composé la musique de la chanson La Note bleue, une chanson en hommage à un homme qu’Art Mengo admirait énormément lui aussi, Claude Nougaro, et la musique de la chanson dédiée au petit-fils d'Yves Duteil, Si j’étais ton chemin.
En 2003, il résume sur scène ses seize années de carrière musicale par ces mots : « J’ai fait deux succès (Les parfums de sa vie, Parler d’amour), trois succès d’estime (Gino, Laisse-moi partir, La mer n’existe pas) et… cinquante trois succès intimes »[réf. nécessaire].